SummerSlam s'est imprégné de la noirceur du rock alternatif des années 90, d'une touche de pop mélodieuse et d'influences psychédéliques. On pense à la vague grunge, au brin de folie de Dredg ou au coté rentre dedans de Them Crooked Vultures, bien qu'en général, ceux qui s'essayent au jeu des influences s'y cassent les dents. Une voix féminine, chaleureuse et puissante, évoque aussi la soul et les grandes voix pop, et distingue ces quatre arlonais de la mêlée.  « The Truth Which Wasn't Good To Hear », premier mini album, est une réflexion en 5 titres sur le thème de l'image de soi et des rapports humains. Il sort à l'automne 2012, après cinq années de live, de compo mais aussi d'évolution. Un passé qui laisse à SummerSlam un ancrage solide en Province de Luxembourg et mène progressivement aux scènes wallonnes, bruxelloises ou du nord de la France.